Un petit exercice de style, pour la revue Possible, écrire une critique telle qu’elle pourrait être publiée dans quelques dizaines d’années, en 1.000 signes seulement.

Un texte sur l’exposition Utakata, de Satoshi Saïkusa, à la galerie da end.

Une lecture critique de l'exposition des frères Quistrebert au Centre de création contemporaine Olivier Debré (CCCOD)

Un petit essai sur les liens complexes qu’entretiennent l’art et le jeu vidéo, à travers l’exemple d’un excellent titre, bien indé, The Stanley Parable.

Article rédigé à propos de l’exposition de Myriam Mechita au Transpalette de Bourges.

Les artistes du numérique et leurs commentateurs, ces temps-ci, paraissent redéfinir les rapports que leur discipline entretient avec la technologie, l’Histoire (notamment de l’art), ou plus généralement, la société. 

Quatrième exposition du MEG depuis sa réouverture, Afrique, les religions de l’extase dresse un portrait en images de la diversité et de la vivacité des formes religieuses africaines, de leurs différences et influences réciproques, mais surtout de leur trait d’union, l’extase comme manière de vivre sa foi. 

Double exposition au Transpalette (Bourges), comme deux voix qui entrent en écho. « Garance – Portrait d’une jeune fille » de Jérôme Zonder et « Legendary Bitches » de Roberta Marrero.  À voir. 

La belle rétrospective du Lam consacrée à Nicolas Schöffer dresse le portrait d’un explorateur, d’un homme qui a défriché de nombreuses voies empruntées par ses successeurs. Son refus de se cantonner au champ de l’art visuel et ses liens avec l’industrie et les autres disciplines dévoilent un artiste qui voulait influencer la société, et plus que par l’image. 

Article sur l'exposition Les Forces en présence d'Aurore Pallet à la galerie Isabelle Gounod. 

Texte réalisé après la performance Teenage Bad Taste de Regina Demina + MusicForEggplant, au Palais de Tokyo le 22 février 2018. 

Jusqu’au 25 février 2018, la BnF présente une courte, mais belle rétrospective des lithographies et des gravures d’Antoni Clavé, accompagnée par la publication du nouveau catalogue raisonné de son œuvre gravé. 

La fin de l’année 2017 a vu l’immense chantier ouvert il y a près de vingt ans par l’esthète anversois Axel Vervoordt toucher à sa fin. Un lieu qui incarne sa vision de l’art, voire de l’existence, sensible et délicate. 

La galerie Maeght expose à Paris une sélection des projets de bibliophilie qu’elle a menés, principalement avec l’imprimerie Arte, créée par Aimé Maeght en 1964.  

Documenta incarne à la fois un état de l’art, du monde et de notre conception de l’exposition. Quels enseignements tirer de cette nouvelle édition, sous la direction d’Adam Szymczyk ? 

La biennale de Lyon d’Emma Lavigne, le second chapitre du triptyque « Moderne », est un parcours porté vers les sens et la contemplation.